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Classée parmi les cinq premières cryptomonnaies mondiales, Tether a su s’imposer comme la référence des stablecoins. Avec l’un des volumes d’échange les plus élevés chaque jour, elle occupe une place incontournable dans l’écosystème crypto. Plongeons ensemble dans les coulisses de cette monnaie numérique pas comme les autres.
Depuis l’émergence de l’argent numérique, son utilisation s’est considérablement développée, tout comme les débats autour des risques potentiels de ce nouveau modèle. Là où certains investisseurs traditionnels pointent du doigt la volatilité des cryptomonnaies, d’autres y voient une formidable opportunité. Dans de nombreuses régions du monde, l’accès aux services financiers est devenu beaucoup plus simple : une simple connexion internet suffit, là où les processus bancaires classiques sont souvent longs et contraignants.
En matière de sécurité et de transparence, les monnaies numériques viennent répondre à des problématiques que l’on retrouve dans les marchés traditionnels. Si certains qualifient encore le Bitcoin et les cryptos en général de "risqués" ou de "bulle", ces nouvelles solutions ont pourtant permis de moderniser des systèmes anciens, parfois dépassés.
Tether (USDT), c’est quoi exactement ?
Tether (USDT) est une cryptomonnaie adossée au dollar américain, que l’on appelle plus couramment un stablecoin. Les stablecoins sont conçus pour refléter la valeur d’une devise ou d’une matière première, dans ce cas précis à un ratio de 1:1 avec le dollar US.
Lancé en 2014 sous le nom de Realcoin, Tether est en fait le tout premier stablecoin au monde. Initialement hébergé sur le protocole Omni Layer de la blockchain Bitcoin, il est aujourd’hui compatible avec de nombreuses blockchains, telles qu’Ethereum, TRON, EOS, Algorand, Solana ou encore OMG Network.
Pour garantir la stabilité de sa valeur, Tether s’appuie sur des réserves équivalentes à la quantité de tokens en circulation. Ces réserves sont constituées d’une combinaison de billets de trésorerie, dépôts, espèces, opérations de pension livrée et bons du Trésor. Bien que des débats aient parfois émergé quant à la transparence de ces réserves, cela n’a pas freiné la popularité croissante de Tether.
L’objectif principal de Tether est clair : proposer un actif numérique stable qui exploite la puissance de la blockchain, tout en évitant les fortes fluctuations que l’on observe souvent sur les marchés des cryptomonnaies. Pour en savoir plus en détail sur le fonctionnement de Tether, n’hésitez pas à consulter leur site officiel.
Quelle est la valeur de Tether (USDT) ?
Contrairement à la majorité des cryptos dont la valeur dépend de l’offre et de la demande, les stablecoins sont rattachés à une devise ou une matière première de référence. Leur prix reste donc aligné avec celui de la valeur sous-jacente, en général selon un ratio 1:1. Dans le cas de Tether, cela signifie que sa valeur correspond à celle du dollar américain.
Même si sa valeur est constante, il est intéressant de noter que Tether figure parmi les cryptomonnaies les plus échangées au monde, témoignant de son rôle central sur le marché.
Qui est à l’origine de Tether ?
Comme évoqué plus tôt, Tether a vu le jour en 2014 sous le nom de Realcoin, grâce à l’initiative de Brock Pierce (investisseur Bitcoin), Reeve Collins (entrepreneur) et Craig Sellars (développeur). Rebaptisé ensuite USTether, le token a finalement adopté le nom que l’on connaît aujourd’hui : USDT.
Ces trois cofondateurs ont chacun une expérience solide dans l’univers des cryptos et sont impliqués dans plusieurs projets blockchain. Leur société a d’ailleurs élargi sa gamme de stablecoins pour répondre aux besoins de différents marchés, en lançant notamment un Tether adossé à l’euro (EURT), au yuan chinois (CNHT), ou encore à l’or (XAUT).
Comment fonctionne Tether ?
Tether n’a pas sa propre blockchain dédiée. À la place, il fonctionne comme un token de seconde couche, hébergé sur des blockchains déjà établies comme Bitcoin, Ethereum, EOS, Tron, Algorand, Bitcoin Cash ou encore OMG.
USDT s’utilise donc comme toute autre cryptomonnaie : il est stocké dans des portefeuilles compatibles avec la blockchain sur laquelle il est émis. Petite précision importante : il n’est pas possible de transférer des USDT émis sur Ethereum vers un portefeuille basé sur Tron, par exemple. Les transactions doivent rester sur la même blockchain pour éviter toute perte de fonds.
Chaque token USDT en circulation est censé être couvert par un montant équivalent en réserves, sous forme de dollars américains ou d’autres équivalents liquides et actifs financiers. Grâce à cette structure, Tether offre aux utilisateurs une stabilité dans un environnement de marché souvent imprévisible. Il permet notamment de réaliser des échanges en dollars, que ce soit à l’échelle locale ou internationale, sans craindre les variations de prix. C’est aussi un outil précieux pour ceux qui souhaitent limiter l’exposition aux baisses brutales des marchés.
Qu’est-ce que l’USDT ?
USDT est donc un stablecoin rattaché au dollar américain, avec un ratio de 1:1. Sous la marque Tether, il est aujourd’hui le stablecoin le plus utilisé dans le monde. Il n’existe pas de limite fixe d’émission, et on comptait environ 72,5 milliards de tokens en circulation au moment de la rédaction de cet article.
USDT offre un refuge numérique pour ceux qui souhaitent conserver la valeur de leurs actifs sans passer par la conversion en monnaie fiduciaire, en particulier lors des périodes de forte volatilité sur les marchés.
Comment acheter des USDT ?
Si vous souhaitez intégrer Tether (USDT) à votre portefeuille crypto, rien de plus simple. Via l’application mobile Tap, après avoir complété une vérification KYC, vous aurez accès à de nombreux marchés crypto et pourrez stocker vos actifs numériques dans des portefeuilles intégrés à l’application.
La technologie blockchain et les cryptomonnaies ouvrent un champ des possibles immense. Grâce à l’application Tap, vous pouvez gérer vos actifs numériques et traditionnels facilement, tout en profitant d’applications concrètes comme la carte Tap, qui vous permet d’effectuer des paiements auprès de plus de 40 millions de commerçants dans le monde.

Polkastarter represents one of the leading decentralised launchpad platforms in the blockchain ecosystem, focused on empowering early-stage crypto projects to raise funds and launch tokens. First launched in December 2020, it has established itself as a prominent player in the Initial DEX Offering (IDO) space, providing a secure and efficient environment for project launches.
The platform has facilitated the launch of over 100 projects, demonstrating its significant impact on the crypto funding landscape. Polkastarter also features a dedicated marketing team, including video production and design, providing support beyond just the technical infrastructure.
TLDR
Multi-chain launchpad: Polkastarter is a decentralised platform that enables crypto projects to conduct token sales and fundraising campaigns across multiple blockchain networks.
Fixed-price swaps: The platform's main offering is its fixed-swap smart contract, which allows projects to easily launch liquidity pools that execute orders at a fixed price, rather than using traditional AMM models.
Cross-chain support: Polkastarter currently supports Ethereum, BNB Chain, Polygon, Celo, and Avalanche, providing flexibility for projects across different ecosystems.
Native token (POLS): POLS serves as the platform's utility token, providing access to IDO participation, governance rights, and various platform benefits.
What is Polkastarter (POLS)?
Polkastarter is a decentralised launchpad platform designed to democratise access to early-stage crypto investments through Initial DEX Offerings (IDOs). The platform serves as a bridge between innovative blockchain projects seeking funding and investors looking for early access to promising tokens.
The platform's core innovation lies in its fixed-swap mechanism, which provides predictable pricing for token sales rather than the variable pricing models used by automated market makers. This approach offers greater transparency and certainty for both projects and investors during token launch events.
Beyond the launchpad functionality, Polkastarter runs an internal incubation and advisory program, bringing together experience and lessons learned from 100+ project launches to nurture and grow Web3 projects, helping to ensure that projects launched on the platform receive proper guidance and support.
The platform takes security seriously by carefully reviewing each project before allowing it to launch. This screening process helps ensure that only legitimate, high-quality projects reach investors, protecting users from scams and poorly developed tokens.
Who created Polkastarter?
Polkastarter was founded in 2020 by Daniel Stockhaus, Tiago Martins, and Miguel Leite. The founding team brought together diverse expertise in business development, technology, and product management to address the growing need for reliable fundraising infrastructure in the decentralised finance space.
Daniel Stockhaus serves as CEO and Co-founder, leading the platform's strategic direction and business development efforts. Under his leadership, the platform has grown from a startup concept to one of the most recognised launchpad platforms in the crypto industry.
The founding team recognised the challenges faced by early-stage crypto projects in accessing capital and the difficulties investors encountered in finding legitimate investment opportunities. Their solution was to create a platform that could serve both sides of this equation while maintaining high standards for security and project quality.
How does Polkastarter work?
Launchpad mechanism
To participate in token launches, users need to hold POLS tokens, with different amounts unlocking various access levels. The more POLS you hold, the better your chances of getting into popular launches and the more you can invest.
Projects set fixed prices for their tokens rather than using changing market prices. This means investors know exactly what they're paying and how many tokens they'll get before they invest.
Multi-chain infrastructure
Polkastarter works across several different blockchains, so projects can pick the one that best fits their needs. Some chains have lower fees, others are faster, and some have different user communities.
Project curation and support
As mentioned above, before any project can launch on Polkastarter, it goes through a thorough review process. The team checks the technology, verifies who's behind the project, and evaluates whether the business makes sense.
Projects also get help with marketing, strategy advice, and technical support to give them the best chance of success both during their launch and afterwards.
What Is POLS?
POLS is the native utility token of the Polkastarter ecosystem, serving a range of functions within the ecosystem:
- Tier access: Users must hold and stake POLS tokens to access different participation tiers in IDO launches, with higher holdings providing better benefits and guaranteed allocations.
- Governance rights: POLS holders can participate in platform governance decisions, voting on proposals that affect the platform's future development and policies.
- Staking rewards: Token holders can stake their POLS to earn rewards while maintaining their tier status for IDO participation.
- Platform fees: POLS can be used to pay for various platform services and may provide discounts on transaction fees.
How can I buy and sell POLS?
POLS tokens are available on Tap, allowing verified users to easily buy, sell, and trade the token. Before investing in POLS, we encourage you to consider how useful the token is on the Polkastarter platform and how much the launchpad space is growing. The token’s value depends largely on the platform’s success and how widely IDO fundraising is adopted.
Le terme TradFi, diminutif de traditional finance (finance traditionnelle), est né dans l’univers des cryptomonnaies. Il sert à désigner l’ensemble des institutions financières centralisées comme les banques de détail, les banques commerciales ou d’investissement. L’idée est de différencier ces acteurs du monde décentralisé de la finance crypto, aussi appelé DeFi.
Qu’est-ce que la TradFi (finance traditionnelle) ?
La TradFi regroupe toutes les institutions financières classiques, mais aussi des entreprises fintech qui opèrent dans le système financier centralisé actuel. Ces entités sont fortement réglementées par les gouvernements, possèdent des bureaux physiques et offrent des services bancaires depuis des décennies.
Ces plateformes — comme JPMorgan Chase, Goldman Sachs, ou encore PayPal, SoFi et Square — exécutent les transactions via des systèmes centralisés. Elles imposent généralement des barrières à l’entrée élevées ainsi que des processus de vérification d’identité (KYC) et de lutte contre le blanchiment d’argent (AML) très rigoureux.
Les avantages de la finance traditionnelle
Seules les entreprises accréditées et réglementées peuvent fournir des services financiers en TradFi. En cas de problème, les clients peuvent déposer une plainte et espérer obtenir un recours via les autorités compétentes.
Les procédures strictes (comme le KYC) permettent également de limiter les fraudes, rendant plus difficile l’accès aux systèmes bancaires pour les individus malveillants.
Par ailleurs, la TradFi collabore avec les autorités pour surveiller les flux financiers suspects, chose plus complexe dans l’univers crypto où l’anonymat est souvent la norme.
Mais aussi quelques limites
Si la finance traditionnelle offre un cadre sécurisé, elle présente aussi des freins à l’innovation. L’excès de réglementation et de bureaucratie ralentit les évolutions technologiques. Et surtout, elle exclut une partie de la population mondiale qui ne remplit pas les critères requis pour accéder aux services financiers.
L’avenir pourrait bien reposer sur une collaboration entre TradFi, crypto et blockchain, pour bâtir une nouvelle infrastructure plus inclusive, rapide et résiliente.
TradFi vs DeFi : deux visions opposées
La DeFi (finance décentralisée) repose sur des blockchains et des smart contracts. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des services financiers sans intermédiaire, de manière directe et automatisée.
Principales différences :
- Dans la TradFi, les fonds sont émis par une banque et les transactions sont validées par des institutions.
- En DeFi, les fonds sont générés par un protocole blockchain, et les transactions sont validées par des smart contracts.
- L’accessibilité est plus grande en DeFi : une simple connexion Internet et du collatéral suffisent. En TradFi, les utilisateurs doivent passer par des vérifications strictes : revenus, historique bancaire, situation légale, etc.
TradFi vs CeFi : entre centralisation et innovation
La CeFi (finance centralisée) est un modèle hybride qui combine le meilleur de la TradFi et de la DeFi. Les plateformes CeFi permettent aux utilisateurs d’accéder à des services crypto (comme les échanges ou les comptes rémunérés) via une structure centralisée.
Certaines plateformes permettent, par exemple, d’emprunter des fonds en crypto contre un dépôt de garantie, comme dans un prêt bancaire — mais sans dossier à constituer.
💡 À noter : contrairement à la TradFi, les dépôts sur CeFi ne sont généralement pas assurés par l’État, ce qui en fait un environnement plus risqué.
Quelle place pour la TradFi dans l’écosystème crypto ?
Comme toute industrie, la finance traditionnelle doit évoluer avec son temps. Aujourd’hui, la blockchain et les actifs numériques sont au cœur d’une transformation majeure du système financier.
Pour rester pertinentes, les institutions TradFi vont devoir intégrer progressivement les cryptomonnaies et les technologies blockchain dans leurs services. Cela pourrait également faciliter l’encadrement réglementaire de la crypto, en l’intégrant dans un environnement déjà structuré.
Bien qu’encore séparés aujourd’hui, la TradFi et la crypto pourraient fusionner sur certains segments comme les prêts, l’assurance ou l’épargne. Une convergence qui pourrait allier stabilité réglementaire, innovation technologique et accessibilité à grande échelle.
As 2025 comes to a close, Bitcoin is still standing at a crossroads. From its recent drop to a low near $80,000 to a rebound above $94,000, price action has been volatile, and sentiment even more so. What follows is a deeper look at what could shape Bitcoin’s path through the year-end: who’s holding, what’s shifting under the surface, and which scenario is playing out now.
What’s Working Under the Hood
Whales Keep Hoarding
After a period of heavy distribution, large-holder wallets are showing renewed accumulation. According to recent on-chain data, whales resumed accumulation in early December, netting nearly 47,600 BTC after offloading over 113,000 BTC between October and November.
This shift stabilizes price around the $89,000 to $92,000 zone and signals renewed confidence from some of the biggest holders. Meanwhile exchange balances keep making lower lows in spite of recent volatility, which suggests selling pressure may be diminishing.
Liquidity, Rate Cuts & Risk Appetite Are Back in the Menu
Bitcoin’s prospects aren’t just about on-chain flows. Macro conditions seem to be aligning too. Growing odds of a rate cut by the Federal Reserve could fuel a late-year rebound for crypto more broadly. That said, macro risks remain real: global economic uncertainty, rate-sensitive flows, and volatility in the stock market mean BTC could remain tethered to broader risk sentiment. Still, if liquidity conditions improve and the environment remains risk-on, Bitcoin and crypto as a whole could benefit.
Key Technical Zones & What They Mean
Right now, Bitcoin trades around $92,000, having tested $94,500 in the past 24 hours. That places BTC squarely in a “decision zone.” On one side lies the psychological resistance zone near $100,000 to $105,000, with the 200-day moving average rubbing the $100,000 level. How price behaves inside these zones, will likely determine if we see a year-end push or a drawn-out consolidation.

Two Scenarios for the Closing Days of 2025
Scenario A: Stabilization
This is the base case. It assumes:
- Continued whale accumulation and reduced exchange supply
- Macro tailwinds from improved liquidity and calming rate expectations
- Spot demand (retail + institutional) remains stable or improves
BTC could nudge toward the $100,000 resistance level. A clean break above this level (particularly if on-chain flows remain constructive and spot demand returns) would be a technical development worth watching, as it could open the door to a retest of recent highs or further upward movement.
Scenario B: Quiet Consolidation
In this scenario, volatility remains high, but structural forces push for balance rather than breakout. That might occur if:
- Macro risks re-emerge (rate uncertainty, global liquidity tightening)
- Spot demand remains timid or institutional flows stall
- Whales stay cautious and accumulation slows
This is what could play out. BTC trades sideways through year-end. The $100,000 mark remains elusive, perhaps tested a few times, but never cleanly taken out. Consolidation would become the theme. On the flip side, this path would offer stability and may set up a more sustainable base.
Nothing is set in stone, especially in crypto. More extreme scenarios remain possible, from a retest of the $75,000 to $80,000 zone to a fresh push toward new all-time highs. But based on current market sentiment and derivatives positioning, the scenarios outlined above represent the most grounded paths forward.
A Quiet Setup with Potential
Bitcoin doesn’t seem to be roaring toward $150K or 200K by year-end like many expected a few months ago. What’s playing out instead is quieter and more foundational. If this foundation holds, Bitcoin could grind higher toward the $100,000 to $105,000 zone before 2026, in an optimistic but a realistic scenario. If macro turbulence or weak demand returns, however, consolidation around the low $90ks remains the most likely path.
Sure, 2025 hasn't delivered the explosive rally some had circled on their calendars. But beyond price action, the foundation is strengthening: institutional adoption is accelerating, regulatory clarity is emerging, and infrastructure is maturing faster than ever. And let's not forget, December has delivered surprises before. Bitcoin has a history of wrapping up the year with unexpected gifts. Whether that leads to a late-year breakout or simply a stable base heading into 2026, you can always follow along and watch a holiday rally if one decides to show up.
Depuis l’arrivée de Bitcoin en 2009, le terme monnaie fiat est de plus en plus utilisé. Mais que signifie-t-il exactement ? Dans cet article, on explore l’origine de cette appellation, comment elle fonctionne, quelques exemples concrets et le rôle croissant que les cryptos jouent face à ce modèle.
Qu’est-ce qu’une monnaie fiat ?
Une monnaie fiat est une devise émise par un gouvernement, déclarée comme monnaie légale sur son territoire. Le mot "fiat" vient du latin et signifie « qu’il en soit ainsi », autrement dit, une valeur imposée par décret.
Cette monnaie, imprimée ou gérée par une banque centrale, peut être utilisée pour payer des biens, des services, ou effectuer des échanges commerciaux. Sa valeur n’est plus liée à une ressource physique comme l’or ou l’argent, mais repose sur la confiance envers le gouvernement et son autorité monétaire.
Comment fonctionne la monnaie fiat aujourd’hui ?
Depuis 2020, toutes les monnaies utilisées dans le commerce international sont officiellement des monnaies fiat. Elles sont gérées par des autorités centrales — comme la Réserve Fédérale aux États-Unis ou la BCE en Europe — qui contrôlent leur masse monétaire et leur politique économique.
Jusqu’en 1971, le dollar américain était encore rattaché à l’or. Mais cette année-là, le président Richard Nixon a mis fin à ce système (surnommé le Nixon Shock), rompant définitivement le lien entre monnaie et or.
Monnaie fiat ou monnaie fiduciaire : est-ce la même chose ?
Oui, les termes “monnaie fiat” et “monnaie fiduciaire” désignent la même chose : une devise émise par l’État et acceptée comme moyen d’échange légal. Il en existe environ 180 dans le monde, parmi lesquelles :
- Le dollar américain (USD)
- L’euro (EUR)
- La livre sterling (GBP)
- Le yen japonais (JPY)
- Le dollar canadien (CAD)
Lorsque l’on compare deux monnaies fiat, on parle de taux de change.
Monnaie fiat vs monnaie marchandise
La monnaie marchandise (commodity money) tire sa valeur de ce dont elle est faite : pièces d’or, d’argent, ou toute autre ressource physique précieuse.
La monnaie fiat, en revanche, n’a aucune valeur intrinsèque. Sa valeur repose uniquement sur la confiance accordée au gouvernement qui l’émet.
Comment la monnaie fiat est-elle née ?
Le troc comme point de départ
Avant l’invention de la monnaie, les échanges se faisaient par troc. Par exemple : 2 kg de farine contre 10 citrouilles à la récolte. Pour garder une trace, on utilisait des reçus écrits (IOU), qui devenaient échangeables.
Mais ce système avait ses limites : il fallait que chaque personne ait ce que l’autre voulait. C’est ainsi qu’est née l’idée d’une monnaie universellement acceptée, souvent basée sur des matières premières comme l’or.
De l’or aux pièces
Peser l’or à chaque transaction devenait complexe. Les gouvernements ont donc commencé à frapper des pièces standardisées, avec des bords striés pour éviter la fraude (le rognage des pièces).
L’arrivée des banques
L’or étant lourd à transporter, il était déposé dans des coffres de banques qui émettaient des certificats de propriété. Ces certificats sont devenus les précursurs des billets de banque.
Du billet à la monnaie fiat
Avec le temps, les gens ont cessé d’échanger leurs billets contre de l’or. Le papier lui-même est devenu la monnaie, et sa valeur a fini par reposer uniquement sur la confiance dans le système.
En abandonnant l’étalon-or dans les années 1930, les États ont officialisé ce passage à la monnaie fiat moderne, valable "par décret" et non plus adossée à une réserve physique.
La monnaie fiat est-elle encore pertinente aujourd’hui ?
Avec l’essor des cryptomonnaies, notre rapport à l’argent a considérablement changé. Des pays ont même reconnu Bitcoin comme monnaie légale, et l’adoption continue de croître.
Mais malgré tout, la monnaie fiat reste essentielle à l’économie mondiale. Elle continue d’être utilisée au quotidien par des milliards de personnes, pour les salaires, les impôts, les prêts, les achats…
Et les CBDC dans tout ça ?
Les CBDC (Central Bank Digital Currencies) sont une nouvelle forme de monnaie fiat. Elles utilisent la blockchain, sont émises par les banques centrales, et ont la même valeur que la monnaie nationale.
Les CBDC combinent la technologie des cryptos avec la stabilité réglementaire des monnaies fiat : elles pourraient jouer un rôle majeur dans l’évolution du système financier mondial.
En conclusion
La monnaie fiat a beaucoup évolué depuis ses origines. Si elle n’a plus de lien avec l’or ou l’argent, elle reste le pilier du système monétaire mondial.
Alors que les cryptomonnaies gagnent du terrain, la monnaie fiat s’adapte — via la digitalisation, les CBDC, ou encore les nouvelles régulations — pour continuer à répondre aux besoins d’une économie en transformation.

Un actif peut être défini comme une ressource ou un élément qui génère des avantages économiques futurs pour la personne, l’entreprise ou le pays qui le détient. Les actifs ont toujours occupé une place centrale dans les bilans comptables des entreprises, mais leur définition s’est largement étendue dans le secteur financier moderne. Des actifs financiers aux ressources générant une valeur économique, faisons le tour de tout ce qu’il faut savoir sur les actifs.
Que signifie le terme "actif" ?
Un actif désigne un élément ou une ressource ayant une valeur économique, dont la détention par un individu, une entreprise ou un État permet d’en attendre des bénéfices financiers futurs. Les actifs peuvent être conservés pour maintenir de la liquidité ou être vendus dans le but de réaliser un bénéfice.
Ces actifs se voient généralement attribuer une valeur monétaire, permettant d’évaluer leur liquidité ou leur potentiel de rentabilité. Les actifs détenus par un particulier sont appelés actifs personnels, tandis que ceux détenus par une entreprise sont appelés actifs professionnels.
Les actifs sont utilisés pour augmenter la valeur nette, améliorer la santé financière d’une entreprise, et plus encore. Ils peuvent être physiques ou immatériels, comme de l’or ou du Bitcoin. Que ce soit pour les particuliers ou les entreprises, les actifs servent à prouver la solvabilité, la santé financière et le niveau de fonds propres. Ils peuvent aussi garantir des prêts ou être vendus pour générer un profit.
La probabilité de succès d’une entreprise se mesure souvent en soustrayant les passifs de la valeur totale de ses actifs. En résumé, un actif est une ressource qui peut, dans l’avenir, générer des flux de trésorerie — que ce soit une machine de production ou un brevet.
Les actifs peuvent être classés en différentes catégories : actifs courants, actifs immobilisés, actifs tangibles, actifs intangibles, actifs opérationnels, et actifs non opérationnels.
Comment fonctionnent les actifs ?
Particuliers, entreprises et gouvernements accumulent des actifs dans l’espoir qu’ils génèrent des bénéfices économiques à court ou à long terme. Cependant, il n’y a aucune garantie de gains, car les actifs peuvent soit prendre de la valeur, soit en perdre. Les bénéfices ne sont réalisés qu’au moment de la vente. Cette volatilité peut influencer la valeur de revente et modifier la solvabilité globale d’une personne ou d’une entreprise.
La solvabilité signifie que la valeur des actifs est suffisante pour couvrir les passifs existants. Les entreprises utilisent généralement un bilan comptable, qui récapitule les actifs, les passifs et les capitaux propres, pour évaluer leur situation financière.
Mais avant d’aller plus loin dans la compréhension des actifs, découvrons les types d’actifs les plus courants.
Les différents types d’actifs
Il existe six grandes catégories d’actifs, chacune ayant ses spécificités. Un actif peut parfois appartenir à plusieurs catégories à la fois, en fonction de son utilisation et de son rôle. Voici les principaux types d’actifs :
Les actifs courants (actifs professionnels)
Les actifs courants, ou actifs liquides, peuvent rapidement être convertis en liquidités pour régler des dettes ou des dépenses immédiates. Exemples : la trésorerie et ses équivalents, les comptes clients, les stocks ou encore les charges payées d’avance.
Les actifs immobilisés
Aussi appelés actifs non courants, ils sont destinés à un usage à long terme (plus de 12 mois) et ne sont pas conçus pour être convertis rapidement en liquidités. Exemples : terrains, bâtiments, machines ou équipements.
Les actifs tangibles
Il s’agit des actifs physiques, que l’on peut voir et toucher. Exemples : espèces, inventaire, bâtiments, actions physiques, machines ou mobilier.
Les actifs intangibles
Ces actifs n’ont pas de substance physique et sont par définition immatériels. Exemples : propriété intellectuelle, brevets, cryptomonnaies, licences, subventions, ou formules secrètes.
Les actifs opérationnels
Les actifs opérationnels sont ceux utilisés par une entreprise pour ses activités quotidiennes ou pour générer des revenus. Exemples : inventaires, brevets, équipements, formules secrètes et licences.
Les actifs non opérationnels
Ce sont des actifs qui, bien qu’ils ne soient pas directement utilisés dans les activités courantes de l’entreprise, peuvent tout de même générer des profits futurs. Exemples : terrains non bâtis, titres négociables, investissements à court ou long terme.
La définition d’un actif
Comme nous l’avons vu, la définition d’un actif est très large et ne se limite pas aux catégories mentionnées. Prenons l’exemple d’un brevet : considéré comme un actif immatériel, il est aussi un actif opérationnel vital pour certaines entreprises.
Le Bitcoin, lui, est un autre exemple d’actif qui bouscule les frontières. Considéré comme un actif immatériel stocké numériquement, il peut aussi être qualifié d’actif courant, voire d’actif liquide.
Un stock de marchandises est à la fois un actif courant, tangible et opérationnel. Cela illustre bien qu’il n’existe pas une seule définition ou catégorie d’actif, mais plutôt une classification qui dépend de l’utilisation qu’en fait l’investisseur.
Cependant, il est essentiel de se rappeler que certains principes de base s’appliquent généralement : un actif tangible ne peut pas être un actif intangible, un actif courant ne sera pas un actif immobilisé, et un actif opérationnel ne sera pas un actif non opérationnel. Bien sûr, quelques exceptions existent, mais cette règle de base est bonne à garder en tête.
Actifs vs passifs
Que ce soit pour évaluer la valeur nette d’un entrepreneur ou la santé financière d’une entreprise, les passifs jouent un rôle clé. La différence entre les actifs et les passifs permet de calculer les fonds propres, aussi appelés capitaux propres.
Pour déterminer ce montant, il suffit d’examiner le bilan de l’entreprise. Notez que l’accès à ces bilans dépend du statut de l’entreprise : les sociétés cotées en bourse sont légalement tenues de publier leurs états financiers dans leurs rapports annuels.
En résumé, l’équation est simple :
Actifs - Passifs = Capitaux propres
Comprendre les actifs et leur valeur économique
La définition d’un actif est pratiquement illimitée. Par exemple, ce collier en saphir hérité de votre grand-mère est considéré comme un actif courant et tangible. Sa valeur pourrait être monétisée immédiatement ou conservée jusqu’à ce qu’une pénurie de saphirs fasse grimper son prix.
Que ce soit dans un contexte personnel ou professionnel, les actifs représentent des ressources capables de générer des flux de trésorerie futurs. Qu’ils soient fixes ou courants, l’objectif principal reste de tirer profit de leur valeur.
L’or, le Bitcoin, les biens immobiliers, les voitures, les formules secrètes et les brevets sont tous classés comme des actifs, car ils détiennent un potentiel économique réel.
Maintenant que vous avez une meilleure compréhension des actifs et de la valeur qu’ils peuvent représenter, à vous de faire vos recherches et d’identifier les actifs qui correspondent à vos objectifs financiers.
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